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Un praticien de 71 ans, exerçant en Belgique, est accusé par 55 patientes de violences sexuelles sous couvert de soins fictifs.

Une affaire choquante révélée par la justice belge

Depuis avril 2025, un dentiste du district de Wilrijk, près d’Anvers, fait l’objet d’une enquête pour des faits présumés de violences sexuelles remontant jusqu’à 1998. Âgé de 71 ans, l’homme aurait profité de son autorité médicale pour abuser sexuellement de ses patientes durant des consultations présentées comme classiques.

L’enquête, lancée après une première plainte fin 2024, a révélé l’existence de 55 victimes potentielles. Des perquisitions à son domicile et dans son cabinet ont permis la saisie de matériel informatique contenant des images compromettantes, confirmant les accusations.

Des procédures fictives utilisées pour masquer les abus

Parmi les éléments les plus troublants de l’enquête figure la mention répétée d’une pseudo-intervention appelée « désinfection de la gorge », une procédure inexistante en dentisterie. C’est sous ce prétexte que le dentiste aurait imposé des gestes à caractère sexuel à ses patientes.

Des touchers vaginaux, anaux, ainsi que des attouchements au niveau de la poitrine et des fesses ont été signalés. Certaines femmes ont également rapporté que le praticien se masturbait en leur présence durant la consultation, ajoutant une dimension particulièrement grave à l’affaire.

Le rôle aggravant de la sédation

Plusieurs patientes affirment avoir été sédatées avant les consultations, soulevant la crainte d’avoir subi des violences alors qu’elles étaient inconscientes. Ce point fait l’objet d’une attention particulière dans l’enquête en cours, car il pourrait révéler un usage dévoyé de traitements médicamenteux pour neutraliser le consentement des victimes.

Un praticien présent dans plusieurs établissements

Le dentiste ne se contentait pas d’exercer en cabinet privé : il était également actif dans des hôpitaux d’Anvers et de Louvain. Cette double activité soulève la possibilité d’un plus grand nombre de victimes, d’autant plus que certains actes auraient pu être commis dans un cadre hospitalier.

Les autorités belges appellent toute personne concernée à se faire connaître, afin de permettre une évaluation complète de l’ampleur des faits.

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