REVUE DE PRESSE – Les dents sont les gardiens d’une mémoire des expositions du passé, que ce soit aux toxines ou métaux contenus dans le lait maternisé, ou durant l’enfance à différents facteurs environnementaux, comme la pollution. Cette équipe de la Mount Sinai School (New York) documente cette théorie et applique l’exploitation de ces biomarqueurs dentaires sur une association en particulier, l’exposition au fer et le risque de maladies neurodégénératives bien plus tard dans la vie. Les conclusions, présentées dans la revue Nature Reviews Neurology, laissent entrevoir une technique permettant de « remonter le temps chimique ».
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